16 Mars 2014
Yacef Saâdi n’accède pas à la force des idées. Il ne croît qu’à la force brute. Qu'il débite son flot de conneries, jamais il n’aura la capacité de connaître l’humanité des hommes. Petit souteneur, lie de l'humanité, il lui est impossible d’accéder à la grandeur d'âme d'un révolutionnaire. Vil un jour, vil pour toujours. Il ne faut pas s’étonner que ce baiseur de mains s’attaque aux morts.
Larbi Ben M'Hidi l’un des pères fondateurs de l'Algérie ne saurait être souillé par cette lavette. Yacef Saâdi, pauvre frappe, qui s'est mise à table devant les paras n’aura jamais autre chose que l’indécence de la médisance. Mais, l’Histoire dira un jour qui a donné Larbi aux paras. La même année, 1957, Larbi était étranglé par les paras et Ramdane par les fondateurs du pouvoir despotique qui soumet encore l’Algérie. L’Histoire nous dira si les deux évènements sont si éloignés l’un de l’autre ?